LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 14 Bricoslave et Pai

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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 14 Bricoslave et PaiLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 14 Bricoslave et PaillassonLa pose, la fabrication, l’entretien des installations spéciales du domaine avait posé un problème : difficile de confier cela à un artisan local qui n’aurait pas manqué de se poser des questions sur leur nature et leur usage. La solution des sites d’annonces spécialisées avait encore une fois été utilisée Tu es soumis, tu as des dons de bricoleur, Madame Claire t’attends dans son Domaine de ********. Madame Claire et son aide Marion ont besoin de toi pour l’entretien et la fabrication de leur matériel Envoie ta candidature avec tous les détails que tu jugeras utiles de donner sur toi et tes motivations accompagnée d’une photo et d’un numéro de téléphone à cette adresse : Madameclaire@*****.com.La réponse de Joseph ne tarda pas a arriver : ancien menuisier, comme il rêvait de se placer sous la domination de Maîtresses sévères, il se proposait comme soumis et de faire de temps à autre les travaux sur le matériel du domaine. Il venait assez régulièrement, convoqué par Claire ou de son propre choix si il avait une idée à mettre en application.Il était quasiment le seul avec Pierre a avoir l’autorisation d’être habillé pour des raisons de sécurité du moins quand il était au travail. Un petit atelier avait été aménagé dans une dépendance du domaine. Hubert, habillé pour la circonstance l’aidait parfois si le travail nécessitait de la main d’œuvre supplémentaire.C’est lui qui avait conçu et fabriqué la plupart des objets qui meublaient le grenier. Il était bien évidemment le premier à tester ses nouvelles créations, laissant son rôle de fabricant pour celui de soumis testeur, les Maîtresses ne se privant pas de pousser les tests au bout ! Il en avait parfois gardé des séquelles douloureuses surtout quand elles étaient insatisfaites du nouveau matériel…Sa akdeniz escort présence permit de répondre à une demande faite bien plus tôt par un soumis s’intitulant lui même ‘paillasson humain’. Il avait demandé à passer une semaine dans ce rôle de paillasson pour toutes les Maîtresse présentes. Il avait fourni un texte écrit par une dominatrice décrivant en détail le « human doormat » ou paillasson humain et accompagné d’un dessin montrant le dispositif nécessaire. En réponse on lui avait répondu que la question était à l’étude, qu’il serait recontacté et et qu’il se tienne prêt.Joseph à qui on montra le texte et le dessin jugea la chose parfaitement réalisable. Il s’agissait d’un caisson intégré au plancher dans le lequel le paillasson humain était intégré recouvert d’un épais tapis de tissu résistant et de caoutchouc solidement fixé au caisson et muni d’ouvertures au niveau de la bouche, des tétons et du sexe. Il se mit au travail pour confectionner le caisson intégré au plancher de l’entrée de la maison. Inoccupé le caisson pouvait être fermé par une planche munie d’un paillasson plus traditionnel. Joseph puis Hubert firent l’essai du dispositif avec Marion comme testeuse et il s’avéra répondre parfaitement à l’usage prévu.Le ‘paillasson humain’ fut donc recontacté et convoqué. Dès son arrivée en milieu d’après midi il fut averti qu’il passerait ses journées dans le caisson et les nuits aux fers à la cave. Un calage était prévu pour empêcher sa tête et ses fesses de bouger si l’envie lui en prenait. Entièrement nu, il fut intégré au caisson, attaché solidement, sa queue retournée sur son ventre et immobilisée par des élastiques. Le tapis vint le recouvrir, solidement arrimé au caisson.Madame et Marion furent les premières utilisatrices changeant plusieurs fois de type de chaussures. Elles piétinaient allègrement le mezitli escort ‘paillasson humain’, essuyant leurs semelles sur sa bouche et sa queue, vrillant leurs talons sur les couilles et la queue offertes et sur les tétons, faisant lécher leurs semelles et sucer leurs talons. L’essai ayant été jugé satisfaisant le ‘paillasson humain’ fut déclaré bon pour le service.Peu de Maîtresses étaient présentes ce jour-là, Josyanne étant absente et Margot restée à son donjon. La journée se termina donc assez bien pour le ‘paillasson humain’. Le soir, extrait de son caisson, il fut interrogé par Madame au salon sur ses sensations après cette première journée. Elle vrillait les talons effilés de ses mules dans les couilles, sur la queue et sur les tétons déjà bien marqués. Le ‘paillasson humain’ répondit de son mieux, réprimant parfois une grimace et assura Madame qu’il tiendrait les 8 jours prévus. Celle-ci le prévint qu’il devait s’attendre à beaucoup souffrir, Quelques cavalières ayant prévu de séjourner au domaine.Marion conduisit le ‘paillasson humain’ à la cave, lui donna son repas, lui permit d’aller aux toilettes, lui donna un baume et un désinfectant pour ses ecchymoses et ses écorchures et l’enchaîna au mur par le cou.Toute la semaine il fut encastré dans son caisson du matin au soir. Certaines Maîtresses passaient sur lui sans s’attarder comme sur paillasson normal essuyant simplement leur pieds sur le tapis de caoutchouc. D’autres au contraire s’attardaient volontiers testant la résistance des couilles et de la queue avec leurs semelles et leurs talons, vrillant la pointe de leurs talons sur les tétons, écrasant la bouche sous leurs semelles. Au commandement « Langue ! » le ‘paillasson humain’ devait la sortir et lécher les semelles tour à tour. Plusieurs talons pénétrèrent dans la bouche offerte griffant les joues, la langue yenişehir escort et le palais. Certaines cavalières rentraient des écuries ou d’une randonnée à pony boy dans le parc avec les bottes d’équitation maculées de boue que le ‘paillasson humain’ devait nettoyer et avaler. Marion veillait à lui rincer la bouche de temps à autres avec un produit désinfectant..Les plus lourdes parmi les Maîtresses prenaient un grand plaisir à peser de tout leur poids sur le ‘paillasson humain’ se tenant en équilibre sur une chaussure. A plusieurs reprises le ‘paillasson humain’ gémit, grimaça sous la douleur. Une des Maîtresses, furieuse, lui avait alors écrasé longuement la bouche d’une semelle aux dessins profonds en disant « Un paillasson ça ne parle pas, ça ne se plaint pas ! »Le ‘paillasson humain’ avait pour consigne de remercier chaque Maîtresse qui passait sur luiLe soir, la bouche du ‘paillasson humain’ était tuméfiée, sa langue gonflée, sa queue et ses couilles marquée de traces violacées et de griffures saignantes, les joues griffées, la peau autour des tétons zébrée de traces rouges et marquée de la trace de nombreux talons aiguille. Il passait une partie de ses nuits à calmer les douleurs de ses nombreuses ecchymoses et coupures avec les baumes et désinfectants que lui avait laissés Marion. Margot avait bien sûr tenu à tester le ‘paillasson humain’ et était venu pour cela avec ses escarpins aux talons métalliques les plus fins et ses bottes aux semelles crantées qu’elle avait pris soin de traîner longuement dans la boue!Au bout de la semaine, le ‘paillasson humain’ avait reconnu que l’expérience avait été bien plus éprouvante qu’il ne le pensait, que certains jours il avait été bien près de demander à être libéré mais qu’en fin de compte il ne regrettait rien. Il remercia Madame, Marion et Josyanne de lui avoir permis de réaliser son phantasme en léchant longuement leurs chaussures et promit de recommander le domaine à ses correspondants sur le net.De fait il y eut quelques autres demandes de séjour dans le caisson y compris de soumis venus d’assez loin !A suivre … le cheptel chapitre 15 les visites de ‘Carpette’

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